En plus de supporter une détention provisoire en attendant la suite de l’enquête sur l’agression de Thomas Vergara, Nabilla doit maintenant tolérer n’importe quelle initiative prise sur son nom. Un groupe de rap a en effet saisi l’occasion de cette affaire médiatique pour diffuser un clip de rap un peu particulier.
Intitulé « Free Nabilla », le clip est un montage d’images de chaines d’informations en continu et de photos retouchées, sur lesquelles passent une musique répétitive et des paroles qui sont ouvertement hostile à la jeune femme. Il s’agit d’un canular, orchestré par Monseigneur Mike et Ronnie Ron, deux rappeurs amateurs qui ont saisi l’occasion pour y trouver un peu de notoriété.
Ce n’est pas la première fois, depuis le début de l’affaire il y a une semaine, que des anonymes s’emparent du phénomène médiatique pour tenter d’en faire un business. Un collectif #FreeNabilla est né sur les réseaux sociaux, et des objets dérivés floqués de ce slogan sont déjà à vendre sur internet.
De nombreux buzz émergent sur le nom de Nabilla
Par ailleurs, comme pour chaque affaire qui peut s’avérer scandaleuse, les rédactions des magazines people se sont vues sollicitées par de potentiels « proches » des deux protagonistes que sont Nabilla et Thomas Vergara, afin de monnayer des confidences d’ordre privé.
Mais l’affaire n’en reste pas moins judiciaire, car pour rappel, la justice enquête toujours sur les faits qui se sont produits dans la nuit du jeudi 6 au vendredi 7 novembre dans un hôtel de Boulogne-Billancourt. Thomas Vergara a été hospitalisé après de graves blessures au thorax, portées par un couteau. Nabilla, entendue dans cette affaire, et principale suspecte de cette agression, est pour l’instant détenue provisoirement, notamment pour que les deux amoureux ne procèdent à aucun destruction de preuves, leurs versions des faits ayant varié au cours de l’enquête.